On veut des femmes, des prédéfinis, des humains et du chocolat « when you're too in love to let it go... » (dante r.) 1524101912
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 « when you're too in love to let it go... » (dante r.)

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MessageSujet: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeVen 14 Fév - 17:39


when you're too in







love to let it go...

Comme convenu le midi même, j'avais organisé cette soirée pour notre anniversaire de rencontre. Cela faisait deux ans jour pour jour que nous nous étions croisés, apprivoisés et aimés. Je ne regrettais en rien ces changements dans ma vie. Dante faisait parti des piliers de mon existence. Je me reposais sur lui comme il faisait avec moi. Nous formions un couple heureux et soudés dont la confiance et l'échange étaient deux points essentiels. Ce soir, nous fêterions notre solidité, notre couple dans tous ses états aussi bien dans les engueulades que dans les instants de joie. Ce soir, je mettrais tout mon amour à l’œuvre pour lui cuisiner et lui organiser le dîner et la nuit romantique que j'avais imaginé depuis déjà une semaine. Autant dire que j'attendais ce jour avec impatience. Dante le savait. Je n'avais pu taire mon état quant à cette anniversaire qui me torturait l'esprit. J'avais hâte de le retrouver et de dîner aux chandelles avec lui chez nous, dans notre petit cocon que nous nous étions construis. Pour l'occasion, j'avais demandé à Lysandre de quitter le loft afin de nous donner l'intimité désiré de ce genre d'évènement. Pour moi, il ne l'aurait très certainement pas fait mais dès que j'avais nommé mon homme, le jeune homme s'était montré tout de suite plus réceptif. Et par chance, il avait accepté de nous laisser seuls tous les deux. Mon honneur était sauf, je n'aurais pas à l'implorer ni à demander à Dante d'intervenir.

20 heures arrivées. J'avais dis à mon homme de ne pas venir avant. La préparation du repas m'avait pris du temps mais j'étais amplement satisfait du résultat. Je m'étais donc attelé ensuite à la décoration de la table, disposant un centre de table en tissu qui nous servirait également de nappe, deux verres à vin, deux verres à eau et le reste de la vaisselle avec l'argenterie. Je posais finalement deux chandelles et montais rapidement à l'étage pour prendre une douche et m'habiller. Je redescendais justement lorsque l'heure sonnait. Je m'avançais vers la table, allumais les bougies et débauchais la bouteille de champagne. J'attrapais deux coupes et je nous servais deux verre que je laissais côté à côté en attendant Dante. Malheureusement, l'heure s'écoula. Les minutes défilaient et les bougies fondaient lentement, démontrant le retard de plus en plus important du shérif adjoint. J'eus même le temps de boire ma première coupe de champagne. Puis une deuxième et enfin une troisième. La bouteille diminuait au fil des minutes que je terminais par la finir tout seul.

Accoudé sur la table, j'hésitais à envoyer un sms pour savoir ce qu'il faisait. N'ayant pas de nouvelles, l'inquiétude montait. Mais je me retenais de l'appeler pour l'incendier. Désespéré quand mon regard se jeta sur l'horloge de la cuisine, je me levais de ma chaise et quittais la salle à manger pour rejoindre le salon. Je m'allongeais sur le fauteuil, attendant le retour de mon homme. Il se faisait attendre. Et surtout il ne m'avait pas prévenu d'un retard quelconque. Ce midi, il m'avait pourtant promis qu'il serait là ce soir et ce soir je l'attendais comme un con. Les yeux rivés sur notre plafond, je finis par fermer les yeux et m'endormir. Dante avait plus de trois heures de retard. J'avais finis par me dire qu'il ne viendrait pas... Pourtant, je refusais d'abandonner et de monter me coucher parce qu'au fond de moi l'espoir qu'il apparaisse soudainement me hantait. La porta claqua. Je me réveillais en sursaut mais restais allongé sur le divan. Je ne bougeais pas et refermais les yeux pour faire croire à mon homme que je dormais. Il méritait mon ignorance.
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeLun 17 Fév - 6:57


when you're too in







love to let it go...

Cela avait un crève cœur de laisser partir Auggie, car même si mes intentions étaient de rentrer ce soir pour fêter l'anniversaire de nos deux ans. Je savais pertinemment que la vie de shérif adjoint ne me permettait pas de faire ce que je voulais. Pour, tout ce qui était paperasse, je pouvais trouver une pauvre âme à écrouer. Mais, si la radio venait à s'allumer et que j'étais trainé à l'autre bout de la ville, je savais que j'aurais la tache douloureuse d'envoyer un sms à mon cher et tendre pour le prévenir de mon absence. Je ne le souhaitais. Je voulais passer la soirée avec l'homme qui enchantait mes jours et mes nuits. Cet homme que je trouvais parfait, qui me comprenait et qui m'acceptait avec mes qualités mais aussi mes lourds défauts. Je voulais célébrer notre amour ce soir, rentre ce jour inoubliable. Honorer ce repas qui allait m'attendre et honorer l'homme que j'aimais dans tous les sens imaginables, faire gémir son corps et cela jusqu'à qu'il me supplie d'arrêter.

J'avais bien noté vingt-heures et je savais que Auggie n'aimait pas mes retards. Cependant, je ne pourrais accuser la paperasse pour mon retard ou un homme en état d’ébriété que j'avais du ramener en cellule de dégrisement. J'avais bien fermé ma porte à l'heure. J'avais donné mes instructions et emporté mon talkie-walkie avec moi si on avait besoin de me joindre, uniquement pour les cas d’extrêmes urgences. J'étais prêt et faire le chemin jusqu'à notre appartement en voiture aurait du être une promenade de santé...si Lysandre ne m'avait pas sauté dessus pour que je l’emmène à une soirée. Je n'allais pas refuser pour une fois que le jeune garçon nous laissait une soirée en amoureux sans faire d'histoire. J'allais être en retard, mais cela j'allais pouvoir l'expliquer à Auggie. Sauf, qu'une fois après avoir déposé le gamin, mon carburateur me lâcha sur le chemin du retour. Donc, me voilà, sur le bas côté de la route la tête à l'intérieur de mon capot et les mains pleins de cambouis. J'aurais pu appeler mes collègues pour un coup de main, mais je refusais d'utiliser la ligne des urgences pour ce genre de dérangement, et le comble la batterie de mon portable m'avait lâché. Impossible de prévenir mon homme.  

Donc, me voilà, à marcher sur le côté de la route, ma veste sur l'épaule et la colère me tenant chaud en cette nuit bien froide. J'allais au moins avoir trois heures de retard et c'est toujours dans ces moments qu'on ne croise aucune voiture, un âme charitable ou un psychopathe en vadrouille. Je rentrais donc épuisé, suintant et dégoulinant. Une horreur, quoi ! Je retrouvais mon homme allongé dans la canapé. Ce dîner parfait complétement raté par ma faute, les bougies presque mortes par mon retard. Je me penchais au dessus du canapé et observais mon petit ange qui devait faire semblant de dormir le connaissant. « Tu savais que Lysandre était très doué pour la fellation ? » demandai-je avec un sourire arqué. Avec ce genre de remarque, j'étais certain de faire ouvrir un œil à celui qui méritait de me faire la tête. Mes doigts pleins de cambouis venant repousser une de ses mèches sur son front et caressant son visage par la même occasion.
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeMar 18 Fév - 20:27

Ce retard était inhabituel. Dante m'aurait forcément informé d'une quelconque urgence au travail. Je me demandais ce qu'il faisait. Perdu sur mon canapé, je pensais à tout et à rien. A Lysandre qui nous avait laissé une soirée de libre. A ce dîner qui finalement n'aurait pas lieu. A mon cadeau qui attendait patiemment le retour du shérif adjoint dans mon sac en bandoulière. Je m'assoupis un instant, peut-être même quelques minutes, quand le claquement de la porte d'entrée me réveilla en sursaut. J'aurais pu penser au retour du petit protégé du jeune Rayner mais les pas lents de ce dernier m'indiquait rapidement qu'il ne s'agissait pas de ce gamin hyperactif, rejoignant sa chambre dès son arrivée au loft. Mon homme rentrait enfin, observant sans nulle doute le table, les chandelles et le repas que j'avais préparé avec soin pour 20 heures... Il était pratiquement 23 heures et je n'avais pas envie de lui parler. Je boudais dans mon coin et faisais semblant de dormir. Il méritait ma douce vengeance et, l'entendant s'approcher, je mettais tout en œuvre pour qu'il y croit. « Tu savais que Lysandre était très doué pour la fellation ? » Malheureusement, il ne semblait pas dupe et ces mots me réveillèrent instantanément. J'ouvris les yeux, me redressais en à peine une seconde et le fixais méchamment. Je terminais par l'interroger du regard avant de plisser les yeux.

Sa réplique ne m'amusait pas. Pour le lui faire comprendre, je me levais en l'ignorant tout simplement et rejoignais la cuisine. Au passage, j'attrapais les chandelles que je jetais à la poubelle. Je repris ma coupe de champagne et m'en servais une dernière. Je jetais la bouteille également. Je bus mon verre cul sec, le nettoyais dans l'évier et le laisser sécher. Toujours silencieux, je ne prêtais pas attention à Dante. Je ne remarquais pas sans sale état, ni même ses mains noircies de cambouis. J'étais énervé et il n'avait rien fais pour me calmer. Parler de Lysandre n'était pas une bonne idée. Parler d'un acte intime avec lui n'était vraiment pas judicieux. Il voulait me faire réagir, je le faisais... En silence et dans une totale indifférence. Je continuais donc de faire ce que j'avais à faire, rangeant la nourriture au frigo ainsi que la vaisselle dans les étagères. Mon homme verrait à quel point je pouvais être buté, obstiné et même têtu. Il me connaissait déjà sous ce jour mais je comptais bien lui rafraichir la mémoire ce soir.

Je finis tout de même par revenir vers lui. Je le dévisageais, me penchais sur lui pour lui murmurais deux vérités dans le creux de son oreille. « Tu pues. » Je restais de marbre même s'ils me faisaient les yeux doux. Je ne cèderais pas. Pas maintenant. Pas encore. « Et va prendre une douche sinon tu dors sur le canapé. De toute manière, je pense que ça sera le cas ce soir... Mais va te laver, par pitié ! » Je posais mon index sur son front, le faisant glisser dessus pour constater les dégâts. Je grimaçais. Il était dégueulasse et je n'osais pas imaginer ce qu'il avait fais. D'ailleurs, avant qu'il ne prenne la parole, je redirigeais mon doigt entre ses deux yeux. « Et je ne veux rien savoir. Pas d'excuses. Pas d'explication. Je ne veux rien savoir. Je suis trop énervé pour t'entendre parler. Je me suis fais chier à préparer le dîner, à réserver le loft rien que pour nous deux et j'ai même pas le droit à un peu d'égard de ta part pour me prévenir de ton retard ! Tu croyais quoi, Dante ?! Que j'allais t'attendre patiemment comme un con pendant que monsieur s'amusait autre part ?! » Je posais mes mains sur mes hanches et fixais mon homme avant de faire demi-tour. Je soufflais, plutôt content d'avoir tout déballé d'un coup. Je me sentais maintenant beaucoup mieux. A croire que son retard n'avait plus d'importance. Et, dans un soudain élan, je retournais vers lui pour l'embrasser. « J'étais inquiet... » C'était là l'unique raison de ma colère. Et s'il s'était blessé, s'il avait eu un accident ou pire encore. Je n'osais pas imaginer... Maintenant, j'étais seulement soulagé qu'il soit rentré.
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeMer 19 Fév - 15:54

Je pouvais sentir la colère de Auugie et elle imprégnait tout notre appartement. Elle avait ce courant électrique qui m'électrisait l'avant des bras alors que ses yeux étaient toujours faussement clos. J'aurais du me jeter à genoux et m'excuser pour mon retard. La pendule du salon et son tic-tac me rappelait qu'il était vingt-trois heures et j'en étais bien conscient, malgré ce que mon cher et tendre en colère pouvait penser. Mais, je n'aimais pas m'excuser, cela griffait bien trop mon égo de trentenaire qui n'aimait pas courber le dos. Ma réflexion n'avait rien d'amusant mais au moins elle tira de son sommeil ma fausse belle au bois dormant. J'accusais le coup de son regard méchant et essuya mon front tout suant avec cette gêne qui était toujours accroché à mes gênes. Car, je savais que le seul fautif dans cette histoire c'était moi.

Je regardais Auggie finir son verre et débarrasser avant de tomber plus par épuisement dans mon fauteuil qui me permettait de toujours avoir un œil sur lui. Plus de deux-heures de marche m'avait éreinté. Je retirais mes chaussures et mes chaussettes avant de masser mes pauvres pieds à l'agonie. Je regardais toujours mon homme ranger la cuisine sans me porter un regard. Je connaissais son caractère buté et je dois dire que je ne savais pas comment éviter une crise. J'avais l'impression à cet instant précis d'être un démineur et que ma propre bombe allait m'exploser au visage. Mais, je savais aussi une chose, si Auggie pouvait me faire la tête jusqu'aux fêtes prochaines, il n'allait pas pouvoir s'empêcher de faire entendre sa voix. « Tu pues. » Je retirais ma veste avec mes yeux essayant toujours de l'amadouer. Il ne m’apprenait rien. Je sentais un mélange acre de sueur séché et d'huile de moteur. « Et va prendre une douche sinon tu dors sur le canapé. De toute manière, je pense que ça sera le cas ce soir... Mais va te laver, par pitié ! » Je laissais son doigt constater les dégâts et c'était bien dans mes plans d'aller prendre une douche sauf si bien sûr mon homme changeait ses plans et décidait de me jeter dehors. « Et je ne veux rien savoir. Pas d'excuses. Pas d'explication. Je ne veux rien savoir. Je suis trop énervé pour t'entendre parler. Je me suis fais chier à préparer le dîner, à réserver le loft rien que pour nous deux et j'ai même pas le droit à un peu d'égard de ta part pour me prévenir de ton retard ! Tu croyais quoi, Dante ?! Que j'allais t'attendre patiemment comme un con pendant que monsieur s'amusait autre part ?! » Je levais mes sourcils, comment monsieur le journaliste avait pu croire que j'étais allé m'amuser autre part ? Mais, ce qui me surprit le plus c'est quand il alla m'embrasser pour finalement dire : « J'étais inquiet... » Et, ça je le comprenais et je m'en voulais de cela. Je ne voulais pas de cela pour notre anniversaire.

« Cela veut dire quoi ce baiser ? Tu me pardonnes ou je dors encore sur le canapé ce soir ?» J'étais épuisé, mais il me restait encore quelques forces. Je me relevais et poussais Auggie contre le frigo. J'attrapais ses poignets d'une main et les plaquais au-dessus de sa tête. Je l'embrassais fougueusement en retour tout en empêchant toute fuite en collant mon corps contre le sien. Il ne voulait pas d'excuses alors je ne voyais plus qu'une possibilité pour enterrer la hache de guerre. « Car, c'est vrai que tu as du bien te faire chier à préparer tout ça. Il faut que je me rattrape ici et maintenant.» Mon regard s'enflamma et ma main de libre alla défaire sans aucun préliminaire la ceinture de son pantalon. Entre deux petites morsures de ses lèvres, je fis sauter les boutons à ma merci et dans une grande inspiration, je plongeais ma main à l'intérieur. Mes hanches accompagnèrent dans un frottement langoureux ma main. Ma bouche quitta la sienne pour mordre sa nuque. « Qu'est-ce que tu dirais de venir prendre cette douche avec moi ? Je te promets de me faire pardonner entièrement et des manières les plus perverses possibles.» lui susurrai-je à l'oreille. Je ne savais pas si allait marcher, mais si il était buté, mon cher et tendre savait que je l'étais encore plus que lui. Je ne m'excuserais pas pour ce retard et déjà celui-ci n'était pas de ma faute.
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeJeu 20 Fév - 19:30

Le silence n'était pas ce que je préférais. Tenir devant Dante était difficile. C'est pourquoi je me concentrais sur le rangement et la vaisselle. Chose qui fut rapidement terminé et qui me ramena instantanément à mon homme et son retard. Je lui dis donc ces quatre vérités, ne pouvant me taire plus longtemps. J'étais énervé mais j'avais été encore plus inquiet. Ainsi, ma colère se dissipa et je ne pus m'empêcher de venir embrasser mon homme malgré son odeur nauséabonde. « Cela veut dire quoi ce baiser ? Tu me pardonnes ou je dors encore sur le canapé ce soir ? » Je le regardais d'un air sérieux, avec en plus un léger sourire en coin. Cependant, je ne fus pas assez réactif pour esquiver l'attaque soudaine du jeune Rayner. Ce dernier bondit de son fauteuil et me poussa contre le frigo. Il emprisonna mes mains au-dessus de ma tête. J'étais coincé et je ne pouvais pas m'échapper à cause du poids de son corps sur le mien. Il m'embrassait. Passionnément. Langoureusement. J'appréciais sa fougue et son statut de dominant de la soirée. Voulait-il se faire pardonner ? « Car, c'est vrai que tu as du bien te faire chier à préparer tout ça. Il faut que je me rattrape ici et maintenant. » Je le sentais venir. J'imaginais ces intentions et celles-ci se confirmèrent quand mes yeux croisèrent les siens et que sa main glissa dans mon pantalon. Je le savais taquin. Je le savais entreprenant. Pourtant, j'étais surpris par ses actes et sa manière de présenter ses excuses.

« Qu'est-ce que tu dirais de venir prendre cette douche avec moi ? Je te promets de me faire pardonner entièrement et des manières les plus perverses possibles. » Réussissant enfin à dégager mes mains de son emprise, je le poussais pour qu'il me rende ma liberté. Il était peut-être shérif adjoint mais ce n'était pas lui qui commandait à la maison. Je corrigeais donc ce détail pour retourner la situation. Sans prendre la peine de l'embrasser ou de lui donner une quelconque réponse à sa question, je lui retirais son haut et faisais glisser mes mains sur son torse suintant. Tout comme lui, mes mains descendirent ensuite sur sa ceinture. Je la lui enlevais et déboutonnais son pantalon que je laissais tomber le long de ses jambes. Désormais en sous-vêtement, je l'observais un instant d'un œil presque amadoué par cette douce vision. Mais finalement, je relevais mon regard après l'avoir dévisagé de la tête au pied et refermais les bouton de mon jean. Sa solution était bien trop facile pour que je l'accepte sans lui prouver mon entêtement. « Et ne crois pas qu'il va se passer quelque chose... Tu dois toujours prendre ta douche, on verra ce qu'il se passera après. Mais pour le moment, tu dors toujours sur le canapé » Je tendais alors mon doigt vers l'escalier menant à l'étage. « Allez, sous l'eau ! Sinon c'est moi qui t'y met et crois-moi quand je te dis que ça sera une bonne douche froide... » Je lui faisais alors un immense sourire colgate, fier de mes mots. Dante ne m'aurait pas aussi facilement. Nous allions voir qui était le plus borné de nous deux. Et j'étais à peu près certain de gagner... Le journaliste l'emportera sur l'adjoint et ça ne sera pas lui qui fera la loi. Ici, Dante était un homme ordinaire et sans pouvoir tout comme moi. Nous étions sur un pied d'égalité, même si j'avais tendance à être le mâle dominant dans nos ébats nocturnes. « Tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant... Alors bouges ton p'tit cul. »
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeVen 21 Fév - 14:28

Ces excuses n'étaient pas trop mon genre et j'étais moins même surprit de mon soudain élan qui avait poussé mon corps contre celui de mon bien aimé. J'étais peut-être plus fatigué que je le pensais ? Ou c'était cette pleine lune qui réveillait l'animal qui sommeillait dans mes viscères ? Auggie sembla rentrer dans mon jeu et c'est en plantant ma canine droite dans ma lèvre inférieure que je le laissais reprendre le pouvoir. J'aimais ces mains qui firent glisser ma chemise. Mon torse se découvrant : de mes pectoraux larges à mes abdominaux tout en longueur avec une légère pilosité emmêlée par l'effort et la sueur. Mon cher journaliste continua de me faire croire que tout serait si facile ce soir en enlevant mon pantalon. En boxer, je me félicitais de mon initiative tout en caressant l'arrière de ma nuque, exposant mes biceps et encore de ma pilosité mesurée. En tout cas, jusqu'à que...

« Et ne crois pas qu'il va se passer quelque chose... Tu dois toujours prendre ta douche, on verra ce qu'il se passera après. Mais pour le moment, tu dors toujours sur le canapé » Mon regard se froissa alors que je le vis reboutonner son jean. Moi, qui avait toujours pensé que j'étais le meilleur pour le buff, mon homme venait de me prouver ce soir qu'il pouvait être tout aussi doué quand le ressentiment alimentait ses batteries. « Allez, sous l'eau ! Sinon c'est moi qui t'y met et crois-moi quand je te dis que ça sera une bonne douche froide... » Il me montra l'escalier et pendant un instant, mon corps et mon esprit semblèrent obéir. Je fis un premier pas vers les marches en bois. Je portais peut-être l'autorité en ville, mais sous ce toit, c'était Auggie qui avait tout autorité sur moi. Trop long à expliquer pourquoi. Trop profond. C'était un contrat tacite entre nous. Je l'avais signé car c'est ce qui transcendait tout mon être. Cependant, mon égo me rattrapa au collet aux derniers mots de mon homme. « Tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant... Alors bouges ton p'tit cul. »

Je me retournais et penchant la tête sur le côté je terminais par me figer. J'étais sur la première marche de notre escalier et bien décidé à ne plus en bouger. « En faite, tu sais quoi ? J'aimerais bien voir ça. » Je faisais glisser mon boxer le long de mes hanches. J'essayais pas de rendre cela sexy, mais je pris tout mon temps. Levant, une jambe pour le retirer et le garder en main, je me mis à regarder mon homme avec ce petit éclat qui n'avait aucun nom. J'avais tout simplement décidé de ne pas plier. Ce retard n'était pas ma faute et je ne paierais pas pour celui-ci. « Alors, je crois que tu vas devoir m'y mettre dans cette douche et je dormirais pas sur le canapé. » Je terminais mon affront en lançant avec force mon boxer tout suant en pleine figure de celui qui me faisait face. J'avais toujours été plutôt doué au baseball. Je me souvenais avoir fait partie de l'équipe junior de Newton dans mon enfance. Maintenant, l'objet que je lançais n'était pas une balle et assez facile à éviter. Je pensais pas pouvoir toucher Auggie, mais c'était pour le geste. Je ne savais pas où tout cela allait nous amener, mais nous y allions.
 
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeSam 22 Fév - 13:56

Je lui ordonnais de monter se doucher. Il s'exécuterait. J'en avais bien l'intention sinon Dante savait ce qu'il l'attendait. J'étais têtu, borné et je ne comptais pas perdre cette bataille. Il m'avait fais attendre des heures... A moi maintenant de profiter de lui et de lui torturer les méninges. Alors que je croyais la bataille gagnée et que le jeune Rayner s'apprêtait à monter à l'étage pour sa laver, le regard qu'il ma lança m'indiqua qu'il n'était pas encore prêt à baisser les bras. « En faite, tu sais quoi ? J'aimerais bien voir ça. » Suivant des yeux mon homme, je l'observais avec une certaine curiosité. Cependant, il avait décidé de ne pas faiblir - sans doute son instinct de flic - et je me délectais de la vision qu'il m'offrait en retirant devant moi son boxer. Ce éclat qui suivit dans la prunelle de ses yeux ne me réconforta pas. Il ne plierait pas. Il voulait me voir à l'action. J'aurais dû m'en douter. J'aurais dû le voir venir. Dante fléchir aussi facilement n'était pas une habitude et pourtant j'y avais cru un instant. Dorénavant, mes espoirs s'étaient envolés. « Alors, je crois que tu vas devoir m'y mettre dans cette douche et je dormirais pas sur le canapé. » Ces mots à peine prononcés que je me retrouvais avec son boxer suant et puant sur le visage. Je l'attrapais violemment avec ma main droite et fusillais Dante du regard.

« Très bien... Tu l'auras cherché ! » Retournant sur mes pas, je jetais un dernier coup d’œil à mon homme avant de mettre à la poubelle son sous-vêtement. Il m'énervait. Mais mon Dieu, je l'aimais tellement également qu'il m'était difficile de lui faire la gueule. Pourtant, je n'étais pas prêt de hisser le drapeau blanc. Mon égo ne le permettrait pas. « Maintenant laisses-moi faire ! » Je m'approchais de l'escalier en bois et montais les première marche pour être à la hauteur de mon âme sœur. Je le dévisageais avant de descendre mon visage vers son entre-jambe que j'observais avec une certaine indifférence. « Rien. Je ne ressens rien. » Lui lançais-je par pure provocation. Je prenais alors les devants, attrapais la main du shérif adjoint et le trainais jusqu'à l'étage en tirant sur son bras. Une fois sur le palier, je le poussais devant moi et glissais mes mains sur ses hanches pour le diriger vers la salle de bain. Je ne manquais pas de reluquer ses fesses pour finir par lever les yeux au ciel tellement elles étaient divines. Mais je ne devais pas craquer, alors je me reconcentrais sur ma tâche comme s'il n'y avait que cela, comme si le fait d'avoir mon homme nu entre mes bras n'influençait pas mon esprit et mes envies. Il jouait avec moi. Dante me torturait aussi en se pavanant nu devant moi. J'aurais pu être faible, me ruer sur lui, lui faire l'amour dans la douche, lui pardonner son retard. Mais je ne ferais rien car, finalement, ce petit jeu m'amusait.

Arrivé à destination, j'ouvris la porte de la douche et forçais Dante à y entrer. J'attrapais la pommeau de douche, actionnais l'eau et baissais bien évidemment la température à son minimum (ou presque). « Toujours certain de ne pas vouloir le faire par toi-même ? » Lui demandais-je une dernière fois. Je ne lui laissais pas le temps répondre, jouant d'un effet de surprise alors que le trentenaire s'attendait probablement à ce que je n'aille pas plus loin. L'arrosant de la tête aux pieds, je riais et m’esclaffais de sa réaction. L'eau était glaciale. Moi-même, je n'aurais supporté d'être à sa place. Mais Dante ne m'avait pas pris au sérieux un plus tôt alors je me devais d'agir pour lui montrer et surtout lui prouver mon entêtement. J'avais remporté cette bataille. J'en étais fier et j'affichais clairement un sourire en coin en continuant d'arroser mon homme dans la cabine de la douche. « Tu croyais que je n'irais pas jusqu'au bout, n'est-ce pas ? Et tu dis quoi maintenant, hein ? J'ai gagné !! J'ai fais ce que je t'avais dis. Dommage pour toi, mon beau... »
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeDim 23 Fév - 16:11

Je m'amusais à présent d'observer les réactions qui traversaient les traits de mon cher et tendre. J'aimais sa résolution. Est-ce qu'il aimait la mienne ? Ce n'était même pas un jeu sensuel que je venais de jeter entre nous comme le sous-vêtement que Auggie venait de placer dans notre poubelle. « Très bien... Tu l'auras cherché ! » L'envie de lui souligner une de ses phrases fétiches me titilla les moustaches, lui qui aimait crier à corps et à crie qu'il ne fallait pas jeter l'argent par les fenêtres. Mais, pour les sous-vêtements, j'en avais plein mon tiroir, je n'allais pas pleurer pour si peu. Je regardais mon homme me rejoindre sur cet homme. « Maintenant laisses-moi faire ! » Je savais exactement ce qu'il essayait de faire ou de me démontrer. Je suivais avec une envie féline son regard qui me jaugea l'animal que j'étais, de la tête à la queue si je puis dire. « Rien. Je ne ressens rien. » Là, il gagna mon rire gras et appuyé, sur ce mensonge que je pouvais croire. Car, s'il y a bien une chose que je savais sur nous, en dehors de nos sentiments et de notre amour réciproque, c'était notre attirance pour l'un l'autre. L'excitation que je pouvais sentir dans ses yeux certains soirs. Ce talent que nous avions de nous allumer sans chercher à en mettre les formes. Ce besoin du corps de l'autre pour trouver la paix entre les draps.

Cependant, j'acceptais sa main toujours le sourire aux lèvres. Une main qui me mena à l'étage. ouvrant le chemin avec les mains de Auggie sur mes hanches. Je ne faisais pas de résistance, mais je trainais les pieds tout simplement pour continuer sur ma lancée. Je prenais donc un malin plaisir à me déhancher même si je n'avais jamais été le plus gracile des hommes. Je savais comment agiter mon postérieur pour plaire à mon homme. Une fois dans notre salle de bain, j'étais poussé à l'intérieur de la douche et offrais toujours mon plus beau sourire. « Toujours certain de ne pas vouloir le faire par toi-même ? » J'agitais mes sourcils et me préparais à répondre quelque chose quand Auggie me surprit et m'arrosa avec une eau glaciale. Je poussais un hurlement de fauve face à cette attaque qui me mordit le sang. « FUCK ! » Je me plaquais contre le fond de la douche comme si j'espérais m'en sortir. Agitant mes mains pour me protéger alors que je pouvais entendre rire mon bien aimé, lui qui devait savourer sa victoire. « Tu croyais que je n'irais pas jusqu'au bout, n'est-ce pas ? Et tu dis quoi maintenant, hein ? J'ai gagné !! J'ai fais ce que je t'avais dis. Dommage pour toi, mon beau... » Je me mis à sourire à mon tour malgré cette eau qui me transformait en glaçon. Je jetais mes mains sur le poignet d'Auggie et repoussa le pommeau de douche à mes pieds.

« Gagné. Perdre. Qu'est ce que je t'ai déjà dit ? Le plus important c'est de jouer... » Et, voulant moi-même jouer la carte de la surprise. Je jetais mes mains autour des hanches de mon homme et l'attirais dans la cabine de douche. J'en profitais pour me coller à lui et prendre le pouvoir sur ce pommeau de douche pour lui faire goûter à son tour à ma vengeance. Je l'arrosais, lui qui était habillé, de la tête aux pieds, n'oubliant aucun recoin et qu'il en ressorte complétement trempé. Mais, comme je n'étais pas un homme cruel, ma vengeance prit fin assez rapidement. J'éteignis l'eau et passa une main dans les cheveux de l'homme que j'aimais pour chasser les cheveux sur son front. « Alors, mon cœur, est-ce qu'une douche froide t'a remis les idées en place ? » Je déposais un baiser sur les lèvres de mon mouillé en espérant ainsi désamorcer la situation. Pour, moi, c'était bonne enfant et surtout de bonne guerre, mais je connaissais aussi le caractère emporté d'Auggie. Je venais peut-être de déclencher la troisième guerre mondial ? J'allais vite être fixé !
 
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeMar 25 Fév - 18:20

« FUCK ! » J'éclatais de rire. Je m'amusais de la situation. Dante était à ma merci et je le dominais avec ce jet d'eau froide qui le faisais reculer contre le mur de la douche. Il tentait de se protéger mais je le connaissais pour savoir comment il réagirait. Alors je m'y mettais deux fois plus de volonté pour parvenir à mes fins. Je savourais ma victoire. J'étais même enchanté d'avoir pu le mettre à mes pieds en si peu de temps. Pour une fois qu'il était l'homme à abattre, le shérif adjoint devait se sentir tout drôle. Cependant, ce dernier me surprit en m'attrapant le poignet que je finis par lâcher le pommeau de douche à ses pieds. Il n'avait pas encore dit son dernier mot et je retrouvais en cet acte l'homme que j'aimais. Il ne baissait pas les bras même dans la difficulté. Au contraire, j'avais toujours eu l'impression que c'était dans des moments de faiblesse et de vulnérabilité comme celui-ci que Dante donnait toute sa force et répliquait avec une certaine agilité. Ça, c'était le jeune Rayner que je connaissais et qui continuait de me charmer. « Gagné. Perdre. Qu'est ce que je t'ai déjà dit ? Le plus important c'est de jouer... » Je plissais les yeux, non convaincu par ses propos. J'étais sûr qu'il mijotait quelque chose, comme si cette douche froide me permettait de lire en lui. Cependant, je ne vis pas le coup venir. En tant qu'augure, j'aurais le sentir, le ressentir mais avec Dante tout était différent. Mes dons ne fonctionnaient pas ou alors j'étais trop impliqué émotionnellement pour qu'ils s'activent.

Dans tous les cas, je me retrouvais rapidement dans la cabine de douche attiré par mon homme qui m'avait attrapé par les hanches. Il se colla à moi et je le fixais dans les blancs des yeux, comprenant où il voulait mener cette bataille quand j'aperçus le fameux pommeau douche cette fois-ci dirigé contre moi. « Non, pas ça... Non. Non... Dante... » Je détestais le froid et encore plus prendre une douche froide. Je me débattais tant bien que mal mais Dante avait trouvé sa prise et je ne pouvais que subir sa vengeance. J'étais coincé entre le mur et le poids de son corps tandis qu'il prenait un malin plaisir à m'asperger de tous les côtés. J'étais pourtant entièrement habillé et ça devait le faire jubiler ! J'en étais même certain. Cependant, sa torture s'arrêta bien plus vite que je ne l'aurais imaginé. Dante était probablement moins sadique et vengeur que je ne le pensais ou alors il avait remarqué à quel point j'étais frigorifié. Je recroquevillais mes bras sur mon torse, tentant de me réchauffer par n'importe quel moyen. Il passa une main dans mes cheveux. Je ne réagissais même pas. « Alors, mon cœur, est-ce qu'une douche froide t'a remis les idées en place ? » Je gémis, légèrement et gentillement, frissonnant de tout mon être. J'acquiesçais difficilement d'un signe tête après que la douceur de ses lèvres se soient déposé sur les miennes.

Mon homme avait réussi à me calmer. Certes pas des moyens que j'aurais préféré évité mais il avait fini par m'avoir. J'agitais le drapeau blanc même si je n'avais rien de significatif pour le faire. J'avais trop froid pour oser bouger. Cependant, je réussis à changer la température de l'eau, à rallumer la douche et à poser le pommeau en hauteur dans un effort effréné. L'eau ruisselant sur mes vêtements trempés, je me réchauffais doucement. Je laissais glisser une main sur le torse de mon homme et le fixais avec un petit sourire sur le visage. « Le plus important c'est de jouer, n'est-ce pas ? » Je reprenais ces mots pour expliquer les évènements à suivre. Maintenant que j'étais réchauffé. Je pouvais revenir à la charge mais pas forcément comme il pouvait l'entendre. Je déboutonnais alors ma chemise et la retirais. Je faisais de même avec les boutons de mon jeans et le laissais glisser les longs de mes cuisses. Mon boxer suivit rapidement mon pantalon et je balançais le tout en dehors de la cabine pour me focaliser maintenant sur Dante. Regard charmeur et sourire provocateur, je venais lui dérober un baiser tout en le poussant contre le mur afin que je puisse à mon tour me coller contre lui. Je finis par lui mordre le lobe de son oreille. « Jouons alors... » Lui susurrais-je alors que je commençais à caresser son torse d'une manière bien plus sensuelle et passionnelle. Je lui volais un dernier baiser avant de dévorer sa nuque et de descendre ma main vers l'objet de ma convoitise. « Ce petit jeu te plaît ou tu préfères que j'arrête ? » Lui demandais-je pour être certain de son approbation, même si le connaissant et voyant l'effet de mes caresses sur son entre-jambe je me doutais qu'il ne voudrait pas que nous arrêtions si vite cette partie.
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeMer 26 Fév - 8:23

« Non, pas ça... Non. Non... Dante... » Pourtant, il l'avait bien cherché. Je n'allais pas m'arrêter. C'est à mon tour de rire et de montrer à mon homme que je pouvais encore le surprendre. Je l'aspergeais en utilisant tout mon corps pour l'empêcher de fuir. Il était tout habillé et je m'en moquais pas. Cela me faisait glousser d'un plaisir qui fit élargir toute ma gorge. Est-ce que nous étions pas mieux que des enfants ? Peut-être ! Je jubilais de ce petit éclat dans le regard. Mais, je savais aussi à quel point Auggie détestait l'eau froide. J'arrêtais donc cette torture en scrutant cet homme que j'aimais complétement frigorifier. Il était adorable et je ne pouvais pas lui faire d'autre mal. Je le laissais changer la température de l'eau tout en esquissant ce sourire de voir son corps commencer à apparaître sous ses vêtements mouillés.

Auugie savait à quel point j'étais sensible à ce genre de spectacle visuel. Ma canine droite lorgna sur ma lèvre inférieure et commença à la mordre face à cet appétit que mon homme avait toujours réveillé chez moi. Je n'avais pas besoin de vidéos, de stimulants ou de jeux de rôles pour avoir envie de l'homme que j'aimais. Tout m'excitait chez le journaliste, même son caractère aussi buté. Ce n'était pas qu'une question de physique. J'étais amoureux de son âme aussi : ses qualités comme ses défauts. Passant mes mains dans mes cheveux, je profitais à mon tour du retour bénéfice de cette eau revigorante et qui redonna du tonus à mon épiderme frigorifié. Mais, quand mon homme glissa sa main sur mon torse, je vis dans ses yeux que quelque chose avait changé. « Le plus important c'est de jouer, n'est-ce pas ? » Je suivis avec délice ses mains retirer un à un ses vêtements. Quelle vision de rêve de voir le corps d'Auggie se dessiner devant moi même si j'avais tout le loisir d'en profiter à loisir. Mon entre-jambe était déjà au garde à vous et ses mains ne m'avaient même pas encore effleurés. Mais, tout cela allait changer quand nos corps se télescopèrent. Il me mordit le lobe de l'oreille et je lui mordis la clavicule.

« Jouons alors... » Nos mains s’invitèrent. Sensuellement. Faisant grimper à notre tour la température dans cette cabine jusqu'à la position : Torride & hot. Sa main en contre-bas me fit grogner comme un fauve, montrant à mon homme comme je préférais ce genre de jeu à notre dispute passée. « Ce petit jeu te plaît ou tu préfères que j'arrête ? »  Ma bouche descendit sur son pectoral droit et embrassa son téton comme première réponse avant de remonter à ses lèvres. « Si vous vous arrêtez, Monsieur Lannister. Je vous arrête et je vous mets au trou...» et de délivrer cette modeste vérité. « Par contre, si tu ne veux pas jouer avec un homme qui sent toujours le chien mouillé. Si, tu me laissais me laver d'abord ?» J'attrapais l'un des gels douches rangés au-dessus de nos têtes et m'en remplissais les paumes. J'ai commencé à faire mousser le liquide aux senteurs de menthe et d'amande. J'en avais pas oublié Auugie. Je transférais le savon sur son thorax, massant ces muscles et ses côtes, mais encore une fois mon bien aimé me connaissait. « Je suis désolé pour ce soir. Tellement désolé... » Je n'allais pas m'arrêter là. Mes mains glissèrent jusqu'à son entre-jambe pour toucher ce que la pudeur m'interdirait de nommer. Pudeur de l'esprit peut-être, cependant mes mains n’eurent aucun problème à masser, astiquer et dynamisé cette zone. Mes lèvres qui continuaient de prendre d'assaut les lèvres de mon voisin.

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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeMer 26 Fév - 18:48

Quelque chose avait changé. Quelque chose qui faisait que j'agissais différemment. Mon regard me trahissait probablement mais je n'en avais rien faire puisque mes intentions étaient claires. Notre dispute était loin et notre nuit plutôt proche. La fin de soirée que j'avais imaginé ce midi pouvait se réaliser malgré tout. Nos cadeaux attendraient. J'avais le besoin de sentir mon homme contre moi, de parcourir son corps nu de mes mains pour laisser notre prise de tête derrière nous. Notre anniversaire avait mal commencé mais rien ne pourrait venir l'entraver. C'était une certitude que j'avais. Je voulais fêté dignement nos deux ans. Pour cela, j'étais prêt à ranger mon égo et mon sale caractère dans un coin de mon être afin d'oublier nos erreurs passées et de redémarrer cette soirée sous un nouveau jour. Il n'y avait rien de mieux que quelques caresses pour faire naître l'envie. Il n'y avait rien de mieux que le contact de nos corps nu pour faire naître le désir. Malgré notre dispute, j'aimais toujours autant Dante et j'avais toujours cette pulsion en moi qui me faisait tant désirer son être et son corps. Ainsi, je me faisais beaucoup plus tactile. Je jouais avec le shérif adjoint dans l'unique but de réveiller en lui cette sensation qui me traversait quand je me retrouvais à ses côtés. Je l'entendais grogner et souriais tout en continuant ces caresses qui le faisait gémir de plaisir. Il restait pourtant silencieux et ne répondait pas à ma question. Cependant, le jeune Rayner finit par réagir et je ne pus qu'apprécier sa réponse si alléchante. Je laissais échapper un souffle plaisant de ma bouche quand mon homme embrassa mon téton. « Si vous vous arrêtez, Monsieur Lannister. Je vous arrête et je vous mets au trou... » « Au trou...? » Répétais-je immédiatement, surpris par le synonyme utilisé pour désigner la cellule du département de police. Je finis par lui sourire et plaçais mes deux mains autour de sa nuque. « Par contre, si tu ne veux pas jouer avec un homme qui sent toujours le chien mouillé. Si, tu me laissais me laver d'abord ? » Je l'embrassais, goûtant avec délice à ces lèvres que je désirais toujours autant. Il était vrai que mon homme était toujours sale malgré la douche froide. Je préférais de loin l'avoir beau et propre pour les idées que j'avais en tête.

Je le délaissais un instant pour qu'il attrape le gel douche. Son odeur parfumait déjà la cabine alors que Dante venait à peine d'en verser dans sa main pour le faire mousser. Ne pensant pas qu'à lui en cet instant, je le fixais amoureusement. Mi-surpris, mi-amusé, je me délectais de ces caresses sur mon torse, de ces massages sur ma peau moussante. J'aurais cru qu'il se laverait devant moi. J'avais même imaginé l'y aider mais le shérif adjoint en avait décidé autrement. Ce n'était pas pour me déplaire mais je devais maintenant m'atteler à la tâche qui m'était confiée. « Je suis désolé pour ce soir. Tellement désolé... » Je gémissais d'avantage quand ces mains descendirent plus bas, beaucoup plus bas et que l'une d'entre elles s'amusa à éveiller la bête qui sommeillait en moi. Dante n'aurait aucun soucis à se faire... J'étais déjà armé et prêt à tirer... Même si ce n'était qu'une façon de parler. J'embrassais mon homme encore une fois, retenant son visage pour que ce baiser dure plus longtemps. « Ne t'inquiètes pas pour ça... Tu devais avoir une bonne raison, je n'en doute pas... C'est pour ça que tu es déjà à moitié pardonné... » Je déposais un furtif baiser sur ses lèvres et attrapais le gel douche dont je versais le savon dans la paume de ma main. Délicatement, j'étalais son contenu sur les pectoraux du jeune Rayner et dessinais des ronds à répétitions avec mes cinq doigts puis finalement les dix. Je n'oubliais aucune parcelle de peau, recouvrant aussi bien son torse que ses cuisses, son dos, son sexe et ses fesses sur lesquelles je m'étais arrêté plus longuement en le retournant contre la paroi de la porte de douche. Mes mains plus que jamais baladeuses profitaient de chaque instant pour l'exciter d'avantage, pour lui donner l'envie d'aller plus loin mais voyant sa réaction typiquement masculine je savais que la partie était déjà gagnée.

« Je t'ai attendu toute la soirée pour assouvir ce désir qui me ronge depuis des heures... » Lui susurrais-je dans le creux de son oreille en me collant dans son dos et en passant une main que je déposais sur son ventre pour alimenter notre rapprochement. Dante pourrait ainsi sentir mon agonie entre ses lobes fessiers et comprendre à quel point son retard m'avait éméché. J'embrassais son épaule, y posais mon menton et lui souriais. J'étais bien. Mon homme dans mes bras, sa peau effleurant la mienne et sa chaleur me recouvrant de part en part, j'étais le plus heureux des petits-amis. Je ne voulais rien d'autres. Je ne désirais pas jouer d'artifice. Il était là pour moi et c'était simplement ce que je lui demandais. Appréciant chaque seconde, je finis par me reculer mais gardais mes mains sur ses hanches pour l'emmener avec moi sous le jet d'eau chaude pour nous laver. « Je t'aime... » Je l'embrassais une dernière fois et le fixais avant de débuter une certaine descente. « ...beaucoup... » Caressant en même temps ses cuisses, je déposais un baiser sur chaque parcelle de son torse qu'il m'offrait. « ...passionnément... » Je m'agenouillais devant lui, jetant un regard provocateur à son intimité avant de le fixer une dernière fois. « ...à la folie ! » Et je m'exécutais pour lui donner ce plaisir que seul un homme pouvait apprécier.
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeMer 5 Mar - 21:45

C'était bien d'autre réjouissances qui comblaient nos épidermes en émois et nos désirs à fleur de peau à présent dans cette douche. Et, j'étais le premier à en sourire, ce n'était pas un sourire victorieux. Je comprenais pourquoi Auggie était en colère, mais il connaissait nos disputes sans-fin parfois à cause de nos maudits égos. Nous avions bien mieux à faire. Après tout, c'était notre anniversaire et nous avions nos cadeaux respectifs à nous offrir, et je ne parlais pas de sa main qui agitait le diable en contre-bas ou de ma bouche qui aimait mordiller certaines zones stratégiques de son anatomie. Il était l'homme que j'aimais, l'homme que j'avais appris à contenter, sachant exactement ce que je devais : frotter, mordiller ou effleurer. Je prenais une pause dans nos regards qui ne laissaient aucun mystère sur la fin de cette soirée. Je me lavais, me permettant de souffler et d'enfin me débarrasser de cette couche de crasse qui me donnait l'impression de peser une tonne. J'abandonnais un soupir de soulagement tout en glissant mes mains vers Auggie. Mais, j'avais d'autre idées en tête et mes mains moussantes prirent le pouvoir sur ses hanches. J'aimais me nourrir de ces gémissements. Plongé dans ses yeux, je partageais avec lui tout le plaisir de le retrouver, de l'aimer et de ne vouloir que lui.

« Ne t'inquiètes pas pour ça... Tu devais avoir une bonne raison, je n'en doute pas... C'est pour ça que tu es déjà à moitié pardonné... » Notre baiser scella ces paroles et mon sourire fut avalé par sa bouche. Le sourire aux lèvres de savoir qu'il m'avait pardonné et je retenais bien qu'il faudrait encore récupérer cette moitié. Je ne voulais pas l'embêter avec mes problèmes de carburateur et de batterie de portable. Je pensais que je me justifier ici aurait pu relancer nos animosités. J'étais bien et je n'avais aucune raison de vouloir bercer cette bulle : brûlante, suintante et épicée. « Je t'ai attendu toute la soirée pour assouvir ce désir qui me ronge depuis des heures... » Comme les mains du jeune Lannister qui massaient de façon si attentionnée mon torse. Alors, que je n'oubliais en rien ses côtes sur lesquelles je descendais jusqu'à ses cuisses, d'abord du bout de mes doigts puis avec mes paumes entières. Je pressais et pétrissais alors que mes grognements de plaisir face aux attentions de Auggie remplissaient cette cabine de douche. Lui, dans mon dos et son poignard me font tourner la tête. Mon cœur tambourine dans poitrine. « Et, moi donc... » Je ne veux plus qu'il se détache et ma main par derrière viens caresser sa nuque et l'arrière de ses cheveux. Mon regard est électrique alors qu'il entame une descente qui ne peut ravir le mâle qui sommeille en moi. « Je t'aime...beaucoup...passionnément...à la folie ! »

Je jette ma tête avec force contre l'arrière de la cabine de douche. Un énorme « BAM » sonore retentit, mais je m'en moque. Ma masculinité n'en pouvait plus et les talents de mon homme sont pour moi légendaire. Chaque grognements. Chaque gémissants. Je lui dédie. « Ohhh....Beeebbeee...» Mes doigts flattent ses oreilles et remontent pour s'accrocher à son cuir chevelu, cours mais je sais où m'imposer. Il n'y a aucun moyen pour moi de simuler. Auggie peut sentir à quel point tout ce qu'il me fait est divin. Tout mon corps se contracte de plaisir. Cette vague qui électrise le haut de mes cheveux jusqu'à relever mes doigts de pieds qui s'ouvrent comme des éventails. Je reste là, les yeux fermés, le dos plaqué contre la vitre de la cabine de douche. Ce sourire de bien heureux sur le visage car mes reins crépitent de plaisir. Mais, je le force soudain à abandonner sa tache pour le relever. Je viens lécher ses lèvres avant de lui voler un baiser ou ma langue vient taquiner avec fougue la sienne. Il pourrait croire que je suis devenu un petit joueur, mais il n'en ai rien. « Chéri...Je veux t'offrir ton cadeau maintenant. Je pense qu'il n'y a pas de meilleur moment. » Je plonge à nouveau dans ses yeux et tout en caressant son visage je sais ce que je dois faire. « Tu ne bouges pas. Je reviens. » Je quitte la douche un instant. Je ne vois aucun soucis à me promener nu et armé chez moi. Je descends l'escalier et récupérer dans la bouche de ma veste un objet. Je remonte et dissimule pour l'instant l'objet dans mon dos. Je ne sais pas si mon homme se doute de quelque chose. Je prends mon temps pour reposer mes pieds dans ses douches. « Auggie Lannister, j'aurais une question à te poser...» C'est à mon tour de m'agenouiller, mais pas pour un plaisir masculin en tout cas pas avant de lui avoir offert ce que j'avais prévu pour nous. Pour lui !
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MessageSujet: Re: « when you're too in love to let it go... » (dante r.)   « when you're too in love to let it go... » (dante r.) I_icon_minitimeLun 10 Mar - 18:53

Cette soirée passerait par pour tes les stades. Elle avait commencé par la colère et une haine intense envers le shérif adjoint pour ma part. Son retard m'avait blessé mais vu l'état dans lequel il était revenu j'avais fini par me calmer. Pourquoi lui en vouloir alors qu'il se culpabilisait de la situation ? Je l'aimais après tout et je ne pouvais lui en vouloir plus longtemps. La preuve était que je me retrouvais nu avec lui sous la douche, prêt pour une réconciliation comme nous en avions l'habitude. Nos engueulades se terminaient quasiment toujours de la même manière. Ce n'était pas pour me déplaire... J'adorais ce piquant que pouvait rajouter la colère à nos ébats et Dante ne s'en était jamais plains. Moi non plus d'ailleurs. C'est pourquoi je me présentais à mon homme en m'agenouillant devant lui pour lui procurer ce plaisir qu'il appréciait tant. Il gémissait et grognais. Et chacun de ses gestes, chacun de ses sons me donnaient l'envie de continuer et de lui offrir tout l'amour que je lui portais. Plaqué contre la vitre de douche, je ne lui laissais pas le choix. Cependant, il prit cette liberté et me releva avec ces mains. Je m'arrêtais donc pour lui faire face tandis qu'il léchait mes lèvres avant de venir m'embrasser. Je glissais mes mains sur ses hanches appréciant son baiser et collais mon homme contre moi alors que nos langues jouaient l'une avec l'autre.

« Chéri...Je veux t'offrir ton cadeau maintenant. Je pense qu'il n'y a pas de meilleur moment. » Mon cadeau ? Quoi ? Maintenant ? J'étais intrigué. Enormément. Pourquoi maintenant ? Pourquoi d'un seul coup ? Qu'est-ce qui faisait que Dante voulait me l'offrir maintenant ? Était-ce mon fameux coup de langue qui l'avait décidé ou une tout autre action ? J'étais limite perdu et je n'arrivais pas à lire dans les pensées de mon homme. Je n'y arrivais jamais. Il arrivait toujours à me cacher ses sombres secrets. Il n'était pas flic pour rien. Je le regardais alors, plissant les yeux pour déceler le moindre indice. Il caressa mon visage de sa main et j'abandonnais rapidement l'idée de comprendre ce qu'il avait derrière la tête. Je ne comprenais jamais rien. Je n'arrivais jamais à voir quand il me préparait quelque chose. Il était bon dans le bluff et cela m'avait toujours impressionné. « Tu ne bouges pas. Je reviens. » Je le regardais sortir de la douche dans le plus simple appareil sans prendre la peine de se couvrir. Après tout, nous étions seuls dans le loft et j'appréciais l'idée de le savoir nu dans notre appartement. En l'attendant impatiemment, je passais mon visage sous l'eau chaude et le frottais. Je laissais ensuite l'eau ruisseler sur mon corps pour nettoyer les derniers résidus de gel douche qui finirent par s'écouler et disparaître. Cependant, je restais encore la tête sous le jet pour tenter d'éclaircir mes pensées et surtout, cela m'évitait d'imaginer ce que ce cadeau pouvait être.

Dante revint assez rapidement, cachant l'objet de ma convoitise dans son dos. Je voulais savoir ce que c'était. J'étais probablement trop curieux mais j'avais hâte de mettre un nom sur ce petit secret qu'il me cachait depuis ce midi. Lorsqu'il rentra dans la douche, je fermais le robinet. Je l'observais une dernière fois mais rien ne me venait. J'étais dans le floue le plus totale. Le pire dans cette situation était que mon homme prenait tout son temps. Il voulait me tuer. J'avais hâte. J'étais comme un gamin à son anniversaire ou à Noël. Je désirais mettre la main sur mon cadeau et il me punissait certainement pour mon impatience. Tant pis, je l'assumais. J'espérais seulement qu'il agirait plus rapidement. « Auggie Lannister, j'aurais une question à te poser... » Je réalisais le sujet de sa question lorsque Dante s'agenouilla devant moi. J'étais excité, à la limite de la crise. Mon cœur battait la chamade. Toutes ses émotions me submergeaient que je ne savais quoi dire, ni quoi faire. J'étais dans un état de plénitude total que je n'aurais pu imaginer un homme plus heureux sur cette terre. « Oui ! » Lançais-je d'un seul coup sans pouvoir me retenir. Le shérif adjoint n'avait pas posé sa question. Je n'étais même pas certain que la question qu'il devait me poser était celle à laquelle je pensais. Il devait me prendre pour un idiot. Je l'étais sûrement mais rien n'aurait pu venir entravé ce bonheur soudain qui m'envahissait. « Oui, oui, oui ! » Continuais-je dans ma folie en m'agenouillant également. Si ce n'était pas une demande en mariage, je tomberais de haut. Si ce n'était pas ça, je passerais de l'homme le plus heureux au plus déçu. Mais pour l'instant tous mes espoirs étaient encore de mise et, fixant mon homme avec amour et passion, je posais mes deux mains au niveau de son cou. « Désolé... Vas-y, poses-moi ta question... » Je l'embrassais rapidement, me mordant ensuite la lèvre inférieure tandis que l'amour de ma vie semblait se préparer à faire sa demande.
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